Tous savoir sur Sokoke
Ce chat originaire du Kenya possède des capacités exceptionnelles qui peut choquer plus d’in, le fait est qu’il sait nager. Peu de félins peuvent survivre en forêt et chasser ses proies dans l’eau. Le Sokoke est très agile, actif et effectue des sauts d’une longueur spectaculaire. Il supporte mal le froid, car sa robe ne comporte pas de sous poil. Ce félin est toujours en bonne santé vu sa nature sauvage.
Un chat tigré domestiqué
Ressemblant vaguement à un tigre à cause de sa superbe robe de couleur brownmarbletabby, il rappelle également l’écorce d’un arbre. De taille moyenne, haut sur pattes et très élégant, cette couverture est mise en valeur à cause de sa fourrure très courte. Au soleil, la robe brille d’un éclat lumineux. Son corps est de format semi-foreign, moyennement long, musclé et mince. Sa poitrine par contre est bien développée. La forme de sa tête est triangulaire adouci, petite par rapport à son corps. Les pommettes sont saillantes et hautes tandis que le crâne est très bien aplati. Vue de profil, il possède une légère déclivité concave depuis sa naissance. Son nez est moyen et bien droit. Les amateurs de chat le savent, le charme de ces animaux se trouve au niveau du regard. C’est ce qui envoûte les jeunes femmes en réalité. Bien espacé, légèrement placés de biais, les yeux du Sokoke sont en amande et bien grands. En général, ils sont de couleur verte et ambrée. Il possède une ossature très robuste et les pattes arrière ont une courbure qui caractérise l’espèce. Les oreilles de ce chat sont larges, avec une extrémité arrondie. Des plumets sont appréciés dans certains cas. Pour finir, la queue est d’une longueur moyenne, épaisse mais s’effile vers le bout. Elle est toujours de couleur noire au bout.
Histoire et origine du Sokoke
Le Sokoke est tout à fait une race naturelle et il est très présent dans son pays d’origine. Autrefois, la tribu locale dénommée Giriama, l’appelait Khadzonzos signifiant « comme l’écorce ». Cette dénomination est due à sa robe marbrée qui ressemble à l’écorce d’un arbre. Selon certains discourt, ce chat existait depuis plusieurs siècles au Kenya. Par contre, il est assez difficile de savoir et de dater sa provenance, car des tests ADN ont tenté de chercher si la race avait des gènes de félins sauvages. En 1978, c’est Jeni Slater qui côtoya cette nouvelle race en premier. Ensuite, une danoisse nommé Gloria Moeldrop ramena au Danemark cet animal pour en faire un élevage. Ces deux femmes ont découvert ce félin dans la forêt del’Arabuko-Sokoke, d’où vient l’origine de son nom. C’est en 1984, que la race apparue en exposition pour la première fois. Au fil des années, la race a été reconnue par la FIFé et son nom a été simplifié en Sokoke. En 2003, la TICA intégra ce nom dans la « nouvelle race ». Il faut savoir que ce spécimen est assez rare et unique. Peu de personne élève ce dernier excepté aux Canada, Norvège, aux Danemark et aux Etats-Unis.